domingo, 1 de junho de 2008

Cristóvão Colombo – Documentos V



De Lettere di Cristoforo Colombo, autografi conservati nel Palazzo Municipale Di Genova, Município de Génova, MCMXII, transcreve-se a carta de Cristóvão Colombo de 27 de Dezembro de 1504.


almuy virtuoso s(eñ)or/
el dotor miçer nicolo/
oderigo//



//virtuoso s(eñ)or
quando yo partí para el viaje de adonde yo vengo /
os fable largo creo q de todo esto estovist(e)s e(n) buena memoria crehí q en/
llegando fallaria yo v(uest)ras cartas y aun persona co(n) palabra. tambie(n) aese t(iem)po/
dese afrançisco de ribarol un libro de traslados de cartas yot(r)o de mis p(ri)vilegios/
e(n) una barjata de cordoban colorado co(n) su çerradura de plata y dos cartas p(ar)a el ofiçio/
de .S. georgi, al cual atribuíya yo el diez(m)o de my renta p(ar)a e(n) descuento delos d(e)rechos/
del trigo yotros bastim(en)tos de nada desto todo sey nuebas miçer françisco diz/
q todo llego alla e(n) salvo si ansi es descortesía fue deses s(eño)res de S. georgi de/
no(n) haber dado repuesta nypor ello ha(n) acrescentado la hazienda y esto es c(au)sa /
q se diga q quie(n) sirve acomu(n) n(o) sirve aningu(n) otro libro de mys p(ri)vilejios/
como lo sobr(e) dicho dese e(n) calis a franco catanio portador desta p(ar)a q tambié(n)/
os enbiase el uno y el ot(r)o fuesen puestos e(n) bue(n) recabdo adonde abos fuese/
bie(n) visto una carta reçeby del reyydelareina mys s(eño)res a ese t(iem)po de my/
partida ali esta escrita vedela q vino muy buena porende do(n) diego no(n)/
fue puesto e(n) la posesió(n) ansi como fue la promesa/
al t(iem)po q yo estaba e(n) las yndias escrivy asus alyezas de mybiaje por tres o quat(r)o/
vías una bolvio amys manos yansí çerrada c(o)n esta os la e(n)bio yel suplime(n)to/
del viaje e(n) otra l(et)ra p(ar)a q le deys a miçer jua(n) luis co(n) la ot(r)a del abiso al qual escri(b)o / q sereys el letor y enteprete della v(uest)ras cartas deseu de veer y q fablem cabto/
del proposito e(n) q quedamos yo llege aca muy enfermo e(n) ese t(iem)po faleçio la /
reyna mys(eño)ra q dios tiene sin verle fasta agora no(n) os puedo deçir e(n) q parara(n)/
mis fechos creo q .s a. lo habra bie(n) proveydo e(n) su testam(en)to yel rey my s(eñ)or muy bie(n) / respo(n)de franco Catanio os dira el resto largo n(uest)ro s(eñ)or os aya e(n) su guardia de /
sebilla a xxbij de dez(iembre) 1504/

el almirante mayor del mar oçeano/
viso rey ygobernador general de las/
yndias ect/

.S.
S.A.S.
X M Y
XPÕ FERENS


_________

Ver:
Justo Zaragoza, Códice Diplomático – Americano, Habana, Imprenta y Libreria “El Iris”, Obispo 20 y 22, 1867. laminas IV.ª, p. 293, 294.
Cervantes Virtual
Martin Fernandez de Navarrete, Coleccion De Los Viajes Y Descubrimentos..., t. II, p. 303;
Codice Diplomatico Colombo – Americano ofsia Raccolta di Documenti..., Genova, Dalla Stamperia e Fonderia Ponthenier, Novembre, 1823, p.324
Biblioteca Clasica, tomo CLXIV, Relaciones Y Cartas de Cristóbal Colón, Madrid, Libreria De La Viuda De Hernando Y C.ª, Calle Del Arenal, núm, 11, 1892, pp. 410, 411
La Real Academia de la Historia, Bibliografia Colombina, Enumeración de Libros y Documentos concernentes á Cristobal Colón y sus Viajes, Madrid, 1892, p. 204.



Eduardo Albuquerque

14 comentários:

Jean-Michel Urvoy disse...

Bonjour.

Le codice de Paris est censé être le jumeau de celui de Gênes. Il a été rapporté de Gênes à Paris par les troupes de Bonaparte. Il est aujourd'hui conservé au Archives du Ministére des Affaires Etrangéres, à Paris.

Il me semble interessant de signaler que le Codice de Gênes et celui de Paris ne sont pas totalement identiques.

Les premières differences visibles se trouvent sur la couverture des documents.

Sur l'exemplaire conservé à Paris, dans l'expression " Almirante mayor del mar oceano", le mot Almirante à été calligraphié "Almirate".
Dans le document resté à Gênes le mot "Almirante" est correctement écrit.

Dans le document de Paris, on trouve deux portraits placés à l'intérieur des lettres. Le premier portrait est caché dans le mot " escrituras", troisième ligne, l'autre dans le mot "firme", dernière ligne.
Dans le document de Gênes il n'y a qu'un seul portrait, il est caché dans le pied de la preliere lettre du mot "Cartas" dans le premier mot.

Certaines personnes ont écrit que ces portraits seraient ceux de Colon, les seuls qui auraient été réalisés de son vivant. C'est faux. Un exament attentif permet d'observer ques ces portraits sont tous différents. Il ont donc le même interêt historique que les fleurs, les oiseaux ou les papillons qu'on trouve sur les documents de cette époque : aucun. Il s'agit seulement d'une simple décoration.

Les couvertures des deux documents semblent avoir été calligraphiées par la même personne. Les textes contenus à l'intérieur du codice montrent plusieurs redacteurs différents.

Encore une fois merci d'avoir publié ces documents. Ces deux codices sont authentiques et contiennent des informations importantes.

Rappelons qu'ils ont été utilisés lors des procès appelés "Pleitos Colombinos".

Cordialement,

Jean-Michel Urvoy.

J. C. S. J. disse...

Hello Jean-Michel Urvoy,

Tank you for this contribution because it helps us to put in perspective these documents.
I also want to show my gratitude for your previous offer.

Anónimo disse...

Monsieur Jean-Michel Urvoy

Je vous adresse mes plus vifs remerciements pour votre important contribution.

Cordialement,

Eduardo Albuquerque

Jean-Michel Urvoy disse...

Caro J.C.S.J.

Je profite d'un instant pour vous faire part d'une simple remarque.

Même si j'arrivais à admettre que Colomb est Portugais comme on cherche à nous le faire croire, je ne comprends pas pourquoi il a envoyé deux exemplaires de son "livre des priviléges" à Gênes et aucun à Lisbonne .... ou au roi Joao II.

Ce livre est celui qui a permis à sa descendence de créer une lignée qui existe encore......


JMU.

Anónimo disse...

Cher Monsieur JMU,

Peut etre que cest parceque Jean II été mort depuis 1495 ! et que le livre a été écri en 1502 ! Vous trouvez pas ?

Como se vé os que se interessem por Colon ignoram absolutamente tudo da historia de Portugal.

J.Rebelo

J. C. S. J. disse...

JMU,

... ou à D. Jorge de Lencastre, «maitre» de Santiago; ou aux marchand-banquiers chrétiens-nouveaux portugais (ou hispano-portugais)… pourquoi Gênes?

Jean-Michel Urvoy disse...

Monsieur Rebelo,

C'est parfaitement exact pour la date de la mort de Joao II, c'était une boutade (joke) de ma part.

J'attendais une réponse d'un de ceux qui me spamment depuis plusieurs années :http://christophecolomb.blogspot.com/search/label/B%C3%AAtisier

Mais, ma remarque concernant l'absence d'envoi d'un exemplaire du livre des priviléges au Portugal ne l'est pas et reste une question sans réponse.

Ne croyez pas, s'il vous plait, que j'ignore tout de l'histoire de Portugal, sur cette période j'ai eu d'exccellents professeurs.


JMU

Cristóvão Colon disse...

JMU,

"je ne comprends pas pourquoi il a envoyé deux exemplaires de son "livre des priviléges" à Gênes et aucun à Lisbonne .... ou au roi Joao II."

Il est très simple de comprendre. Le Portugal après 1495 n'était plus le Portugal. Le Portugal qui ne sera encore jamais.

Et dans 1502 il semblait de plus en plus comme une prolongation de Castille.
Par conséquent Colon faisant face à l'Espagne qui bientôt absord Portugal n'était pas sûr. N'importe quel royaume, à moins que le Portugal, même France aurait été un meilleur choix pour sauvegarder ses droites.
Dans le Portugal il y avait et est ses traîtres les mêmes qui ont tué D. Joao II.

Anónimo disse...

Manuel Rosa


"Il est très simple de comprendre. Le Portugal après 1495 n'était plus le Portugal. Le Portugal qui ne sera encore jamais."
Oui, mais ça...c'est La Palisse! Le Portugal au XVI siécle ce n'est pas le Portugal du XV ni même de Portugal d'aujourd'hui!
Le Portugal a eu une époque brillante,exactemment comme quelques autres pays, rien de plus!

"Par conséquent Colon faisant face à l'Espagne qui bientôt absord Portugal n'était pas sûr."

Toute la politique portugaise du Roi Manuel est dirigée à l'absorpcion de l'Espagne par le Portugal!

Vous allez de trahison en trahison, de rêve en rêve, sans nous donner aucune preuve.

Maria Benedita

Cristóvão Colon disse...

Maria Benedita,

Qualquer rei que deixa o rei de outro reino mandar na sua coroa passa a não ser rei do seu reino.

D. Manuel I, em tempos de paz e sem nenhuma ameaça de guerra, expulsou os Judeus por mandado de outra coroa assim mostra não ter a independência da sua coroa.
Leia a sua história.
Um reino que é soberano não aceita politica forçada por coroas estrangeiras mas luta sim pelo direito e pela sua independência.

Luta até à morte como fez o maior dos nossos reis D. João II.

- Manuel Rosa

Anónimo disse...

Manuel Rosa

Isso são tretas!
D. Manuel casou com 3 infantas de Espanha porquê? Se D. Miguel da Paz tem sobrevivido teria unificado a península. É evidente que a política matrimonial teve contrapartidas, teve que cumprir uma das cláusulas do seu contrato de casamento com a herdeira de Espanha, Isabel de Aragão, obrigando á conversão os judeus, refugiados em Portugal na sequência da expulsão de Espanha, decretada pelos Reis Católicos.
Diplomacia não é perda de poder, é conciliação de interesses.
D. João II aceitou as Terçarias de Moura porquê? E isso foi deixar que reis estrangeiros mandassem em Portugal?

Essa visão curta e pseudo-nacionalista da História é perfeitamente patética!

Maria Benedita

Anónimo disse...

Cara Maria Benedita

"D. João II aceitou as Terçarias de Moura porquê?"

D. João II inventou as Terçarias de Moura. Foram os Castelhanos que as aceitaram e que tentaram não as cumprir. Mas no fim de tudo foi o desejo de D. João II que foi feito e não o dos Castelhanos.
Foi também o desejo de D. João II que foi feito no desfazer das mesmas Terçarias.
Leia a sua história D. João II era REI com capitais.

Manuel Rosa

Anónimo disse...

Manuel Rosa

Pelos vistos as Terçarias de Moura passaram igualmente a romance policial!
Não vale a pena, sequer, responder-lhe. Qualquer dia diz que Tordesilhas foi mais favorável a Portugal que as Alcáçovas/Toledo!

Enfim, não vou perder tempo com espirais de delírio direccionadas á asneira!

Maria Benedita

Anónimo disse...

"Não vale a pena, sequer, responder-lhe. Qualquer dia diz que Tordesilhas foi mais favorável a Portugal que as Alcáçovas/Toledo!"

Cara Maria Benedita

Sabe quais são os dois maiores negócios da história? 1º- O tratado de TORDESILHAS, que foi particularmente favorável a Portugal "tamponando" os interesses portugueses por quase 100 anos, só perdidos com a triste perda da nossa sagrada independência ; 2º - A compra do Alasca à Rússia pelos Estados Unidos.
E repare bem!, não sou eu que o digo!
Não quero acreditar que queria ter dito isso!

Melhores cumprimentos

Marco

P.S. Espero não ser censurado.